ELECAM affirme avoir minutieusement analysé le document incriminé, présenté comme une preuve officielle. L’institution souligne plusieurs incohérences flagrantes : des traductions approximatives, un manque de cohérence structurelle et une non-conformité avec ses normes de codification habituelles. Elle précise formellement que « Le citoyen en image n’a jamais été inscrit sous une fausse identité » et rappelle la stricte application du Code Électoral.
Au-delà de ce cas isolé, ELECAM y voit « une manœuvre destinée à semer le doute sur la crédibilité du processus électoral ». Si l’institution réfute avec vigueur des accusations spécifiques, la persistance de telles allégations, qu’elles soient fondées ou non, témoigne d’un défi majeur pour ELECAM. Celui de restaurer une confiance pleine et entière auprès du public.
L’appel incessant à la vigilance de la part de l’organe électoral semble bien mettre en évidence une bataille continue contre la désinformation, mais aussi, potentiellement, contre une perception de manque de transparence qui nourrit la suspicion.