La session du Comité de pilotage du projet. Smart Campus, tenue lundi 20 janvier 2025 à Yaoundé, marque une étape décisive dans l’avancement de cette initiative d’envergure, à la fois stratégique et innovante. À cette occasion, fait savoir Le Témoin, le Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, Joseph Lé, par ailleurs Président dudit Comité, a exigé que les travaux de construction des quatre Smart Campus, notamment de l’ENAM, de l’ISMP, de l’IFTIC-Sup et du Minfopra, débutent simultanément au plus tard en juin 2025, afin de respecter le délai de 24 mois fixé pour leur réalisation.
Le Conseil National de la Jeunesse du Cameroun se prépare au lancement de la Plateforme de Dialogue de la Jeunesse Camerounaise et du Camp National de la Jeunesse. En marge des deux évènements qui ont respectivement lieu du 28 au 30 janvier 2025 pour le premier et du 5 au 8 février 2025 pour le deuxième, le Conseil National de la Jeunesse du Cameroun a donné un point de presse ce 20 janvier 2025 au siège de l’institution à Bastos. C’était en présence de la présidente du CNJC, Fadimatou Iyawa, qui était accompagnée du représentant du MINJEC, Alex Bitchoka, de la présidente du Conseil National de l’Éducation Populaire (CONEP), Fidèle Djebba, et des professionnels des médias. Les détails à lire dans Réalités Plus de ce matin.
Le Port autonome de Douala (PAD) et la Société d’Exploitation et de Construction du Port de Douala-Bonabéri (SCEPDB), filiale de l’entreprise française de travaux maritimes Negri, ont conclu le 17 janvier 2025, un partenariat en vue de la construction du quai n°17 au profit du Terminal à conteneurs du PAD. Selon le quotidien L’Economie en kiosque, les travaux sont financés par un emprunt de 70 milliards de FCFA consenti par le pool de banques camerounaises CCA Bank, Bange Bank et Atlantic Bank.
Pour Repères qui traite de la même actualité, l’on apprend que le projet dont la convention a été signée le 17 janvier 2025, entre le DG PAD et l’entreprise française Negri, consiste à construire 250 mètres linéaires de quai supplémentaires, aménager 7,9 hectares de terre-pleins, ainsi qu’à prolonger de 1200 mètres le linéaire des voies de RTG (portique automatisé sur pneu). Ce chantier décliné en trois phases contribuera ainsi à réduire les coûts logistiques pour les opérateurs. « Il va en outre générer des emplois directs et indirects et positionner durablement ce combinat portuaire comme un modèle endogène d’innovation, de croissance et de modernisation dans le golfe de Guinée », lit-on.
« Le Minhdu évalue les chantiers de modernisation voulues par le président Paul Biya », titre ce matin, Flèche d’Afrique. En effet, les chantiers de voiries urbaines prescrits par le Chef de l’Etat pour l’amélioration des conditions de vie des populations, sont en pleine exécution dans la Région du Littoral. C’est dans l’optique d’évaluer l’état d’avancement des travaux que Célestine Ketcha Courtès séjourne à Douala. « En 2025, les quartiers sous-équipés bénéficieront d’une meilleure connectivité, d’opportunités économiques accrues, et d’une résilience améliorée. Les travaux de voiries urbaines en cours connaissent une accélération pour laisser place aux travaux prescrit par le chef de l’Etat pour 2025 », peut-on lire.
Le journal Le Quotidien revient avec plus d’informations sur cette actualité en indiquant que le Ministre de l’Habitat et du Développement Urbain, Célestine Ketcha Courtès, a effectué une mission d’inspection spontanée pour évaluer les travaux du PDVIR dans la ville de Douala. Elle en est repartie « satisfaite », en raison notamment de la dynamique observée sur la plupart des chantiers, à l’exemple de la Station de traitement des boues de vidange (STBV) de Ngombè, qui sera bientôt opérationnelle, et de la construction d’un centre de santé à Ndogpassi qui n’attend plus que l’installation des équipements médicaux. Après les voiries structurantes qui sont déjà en cours d’achèvement (déjà 95% des travaux réalisés), le PDVIR s’est engagé récemment dans la réalisation des chantiers de proximité qui vont permettre aux quartiers sous-équipés de bénéficier d’une meilleure connectivité, des opportunités économiques accrues, et d’une résilience renforcée.
Allons-y avec Télégram News pour humer l’odeurs de malversations et tripatouillages au Centre de Formalités de Création d’Entreprises. Cette institution, d’après le journal de Dimitri Amba, est devenue « une vache à lait d’un groupuscule qui se bourre les poches et la panse au détriment des caisses de l’État ». L’Affaire qui fait grand bruit risque d’emporter la responsable en chef du CFCE, le régisseur et des greffiers. « La Direction Générale des Impôts ne voit que du feu du fait des soutiens de ces responsables « indélicats ». Une réunion tenue à l’Apme hier a accouché d’une souris », lit-on.