Alors que les spéculations sur l’avenir politique du Cameroun s’intensifient à l’approche de 2025, une information exclusive émanant de la région du Grand Nord jette un nouvel éclairage sur les dynamiques de pouvoir. Selon une information de dernières minutes, malgré leurs divergences politiques habituelles, les élites de cette région stratégique du pays semblent avoir trouvé un terrain d’entente majeur : le rejet catégorique de Ferdinand Ngoh Ngoh, actuel Secrétaire Général de la Présidence, à toute position de leadership ou de succession.
Selon des sources concordantes rapportées par Echos 237, ce refus unanime s’exprimerait avec force, indépendamment du calendrier politique, qu’il s’agisse de la période précédant ou suivant 2025. Cette « fronde » est présentée comme sérieuse, témoignant d’une opposition ferme à toute hypothèse plaçant Ferdinand Ngoh Ngoh à la tête du pays.
L’ampleur de cette contestation est telle que certaines figures influentes de cette partie pays, iraient jusqu’à évoquer ouvertement la possibilité d’un « renversement du régime », si la perspective d’une succession impliquant l’actuel Secrétaire Général de la Présidence venait à se confirmer. De cette posture radicale, traduirait le niveau d’inquiétude et de détermination des élites de la région face à ce scénario.
Surnommé « L’Homme à la punk », « Vice-Dieu », ou encore « Monsieur Hautes Instructions », Ferdinand Ngoh Ngoh, est connu pour sa proximité avec le Chef de l’État et son rôle central au sein de la Présidence de la République. Ministre d’Etat, ce proche collaborateur de Paul Biya dont il bénéficie d’une délégation de signature, est l’une des figures les plus craintes et influentes de l’administration camerounaise.