Le patron de la police dans sa dernière sortie s’est plaint de la route Yaoundé-Mutenguene.
La dernière sortie du Délégué Générale à la sûreté nationale sur l’état délabré des routes, particulièrement la Nationale n° 3 qui relie Yaoundé à Mutengene dans le Sud-Ouest, a suscité des vives réactions au sein de l’opinion et le ministère des travaux publics n’est pas resté silencieux.
Dans une note d’information, ce département ministériel cite les véritables causes de la dégradation des routes dans notre pays. entre autres, le vieillissement des chaussées; tous ces axes routiers ont accompli leur durée de vie; plus de 20 ans, les averses, avec d’importantes quantités d’eau qui s’infiltrent sous les chaussées; les ouvrages de drainage ne sont plus fonctionnels de manière optimale, ils n’ont pas été dimensionnés pour capter les énormes quantités d’eau actuelle.
Aussi, les entreprises choisies pour réhabiliter ces routes ont un rendement faible, car, les capacité financières sont faibles, les avances de démarrage et les décomptes n’étant pas payés dans les délais ».
Par ailleurs, une communication très offensive est faite par ce ministère pour montrer les efforts déployés jusqu’ici pour offrir au Cameroun des routes. Ainsi, ce ministère annonce entre autres avoir construit 2075,19 km de routes neuves mises en service entre 2016 et 2023.
994,7km d’axes routiers ont été réhabilités ou reconstruits et mis en service entre 2016 et 2023.
Au sein de l’opinion, concernant la sortie du DGSN, pendant que d’autres apprécient cette interpellation, d’autres trouvent que le problème de Carte nationale d’identité auquel est confronté le Cameroun est toujours important que les routes dégradées.
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