Le compte à rebours pour la célébration de la fête de l’Unité nationale est lancé. Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, Mounouna Foutsou, a lancé officiellement hier à Ngaoundal, région de l’Adamaoua, les manifestations civiles de la 53 fête de l’Unité. Un évènement à la fois festif et didactique qui a permis de mettre en exergue des valeurs telles que le vivre ensemble et la cohésion sociale. La dernière ligne droite est ainsi tracée vers le grand rendez-vous de mardi prochain. Les détails à lire dans les colonnes de Cameroon Tribune.
Le quotidien gouvernemental parle aussi ce matin de la production d’énergie électrique et nous amène au cœur de Songloulou. Ce barrage (384 Mw), écrit le journal, reste une infrastructure centrale du Réseau interconnecté Sud, même s’il prend de l’âge. La deuxième phase du plan de réhabilitation devrait coûter 60 milliards de FCFA, annonce notre confrère.
Allons à Yaoundé la capitale camerounaise pour parler de celui que Mutations appelle « l’enfant du sacrifice ». Âgé de six ans, Mathis a été poignardé à mort samedi suite à un différend entre deux adultes. Reportage à Ngoa- Ekellé où la scène macabre s’est déroulée, à lire dans le journal.
Dans la foulée de Mutations, le journal Infos+Santé écrit : « Lâchement, froidement et brutalement assassiné à coups de poignard par Mr Nwafo, père de l’artiste Lydol, la mort de cet enfant de 6 ans qui ne demandait qu’à profiter de la vie, aller à l’école et vivre ses rêves d’enfance, suscite une vive consternation nationale. La société camerounaise demande que justice soit rendue dans de très brefs délais ».
Quatre conseillers municipaux dont un adjoint au maire de la Commune d’Arrondissement de Bafoussam 1er dans la Mifi et un adjoint au Maire de la Commune de Banwa dans le Haut-Nkam ont officiellement rejoint les rangs du Mouvement pour la renaissance du Cameroun le week-end dernier. Le film d’une folle journée au siège du Mrc à Bafoussam, à trouver dans les colonnes de La Nouvelle Expression.
Le journal Le Drapeau revient à Garoua deux jours après la démonstration de force orchestrée par la jeunesse de l’Extrême-Nord en soutien au Président Paul Biya. D’après le journal, le président de l’Assemblée nationale, Cavaye Yeguie Djibril, a reçu en audience les organisateurs du meeting du 10 mai. « Visiblement satisfait, le patriarche politique a salué une mobilisation historique tout en fixant un nouveau cap : franchir la barre symbolique du million de jeunes engagés d’ici octobre 2025… », peut-on lire.
Pendant ce temps, l’Association des Chefs Traditionnels des Villages Sawa du Wouri sensibilise les partis politiques. Dans une déclaration commune le 10 mai dernier, les autorités traditionnelles, les leaders des partis politiques, les représentants d’Election’s Cameroon (Elecam) et du conseil national de la communication (CNC) ont souhaité que la présidentielle d’octobre 2025 soit une élection apaisée sans diffusion des messages de haine avant, pendant et après le scrutin. C’est une information que donne Forum Libre dans sa publication de ce matin.
Le journal Matila de Grâce Engomé nous apprend ce matin qu’Eyebe Ayissi a été « roulé dans la farine avec des titres fonciers superposés et annulés en cascades à Ngoma ». Dans son récit, le journal renseigne que la question foncière à Ngoma, dans l’arrondissement de Douala 5, n’est pas un simple litige au niveau local. « C’est le révélateur d’un système profondément vicié, où la spoliation des terres, les manipulations administratives et l’impunité institutionnelle se nourrissent d’une gouvernance foncière chaotique. Derrière d’une part, les bulldozers qui rasent les maisons. Et d’autre part, des documents officiels qui se contredisent, ainsi que, la souffrance des habitants arrachés à leurs terres, c’est Henri Eyebe Ayissi, le ministre du cadastre et des affaires foncières lui-même qui se retrouve sur le banc des accusés ».
Thibaut Lamé, Directeur général de AGL Cameroun explique dans les colonnes du journal L’Economie, comment l’entreprise compte se déployer sur le plan national en 2025. Il présente dans une entrevue avec le journal de Thierry Ekouti, les chantiers prioritaires pour le pays, en marge de la mise en exploitation officielle de la phase II du Port Autonome de Kribi.
Dans un communiqué rendu public, le 12 mai, le ministre des Finances met en garde ces opérateurs sans agrément et rappelle aux usagers les risques associés à ces pratiques illégales. Notamment la réception de fausse monnaie, l’implication indirecte aux activités de blanchiment d’argent et la participation involontaire au financement du terrorisme. C’est une information du journal La Météo.