Dans une récente sortie, le Dr Patrick Rifoe, membre du RDPC, a critiqué les actions de Me Alice Nkom, présidente du REDHAC, qu’il accuse de promouvoir l’homosexualité et le non-respect des lois de la République.
« Me Alice Kom avoue que le Redhac viole la loi camerounaise sur les associations et les ONG en déclarant : « Ce n’est pas le Ministre Atanga NJI, qui va nous apprendre comment gérer l’argent, que les pays étrangers nous donnent, nous n’avons pas de compte à lui rendre, nous rendons comptes aux pays amis, qui nous financent ». Nous réclamons la dissolution de cette association dont l’agenda pro homosexuel et le non-respect des lois et règlements est patents », a déclaré le Dr Patrick Rifoe, sur sa page Facebook.
Selon le militant RDPC, l’organisation non gouvernementale que dirigent Me Alice Nkom et Maximilienne Ngo Mbé fait dans la promotion de l’homosexualité. « Depuis 2001, Me Alice Nkom cherchait un véhicule pour promouvoir l’homosexualité. Le seul et véritable objet du Redhac, c’est la promotion des gauchers », souligne-t-il.
Mais cette accusation ne fait pas l’unanimité. Dans une récente sortie, le journaliste Venant Mboua, donnait quelques indices sur la convocation de l’avocate internationale, par l’autorité administrative du Wouri ce lundi 16 décembre 2024. « Faut-il encore le préciser ? Me Alice Kom n’est pas convoquée chez le préfet pour répondre de ses activités de protection des homosexuels au Cameroun », a affirmé l’ancien journaliste du quotidien Le Messager, vivant aujourd’hui au Canada.