L’initiative JAB70 veut donner la chance aux jeunes filles qui ont déjà des projets et qui souhaitent les mener à terme.
Comment on se sent ?
Je me sens bien. Je suis content que tous les artistes soient venus, que les amis soient venus et que la principale articulation, la plus intelligente est approchée c’est-à-dire que les amis qui sont venus aiment bien la fête. Ils me disent que la suite les intéresse beaucoup. Tout le monde est prêt à faire l’effort pour les étudiants, pour les jeunes, pour leur montrer que la nation compte sur eux et que leurs aînés pensent à eux.
Vous avez dit 70 jeunes élèves ingénieurs à travers le pays, est-ce qu’ils ont été sélectionnés ?
Non pas encore. Moi, j’ai l’idée, après la mise en œuvre, il faut bien que les professionnels de la chose s’en accaparent. Je suis en contact avec les chefs d’établissements. Quand on parle d’ingénieurs, on parle des gens qui proposent des solutions aux problèmes. Pour accélérer ce que tout le monde dis aujourd’hui, c’est-à-dire que l’école doit préparer à la vie. Je crois que le premier critère, il faut savoir qu’on a ramené l’initiative uniquement aux filles. Ce que nous essayons de faire, c’est de reconnaitre les femmes ont subi beaucoup d’injustice dans la société. Nous le savons tous. Quand elles en avaient la chance, on allait à l’école avec les filles. Souvent d’autres étaient bloquées à la maison et puis vous finissez d’aller à l’école ensemble et elle doit être assistante. Je ne dis pas qu’il n’en faut pas. Il en faut. Mais qu’elles aient les mêmes chances. Pour tout ce retard, on s’est dit que cette petite initiative pourrait s’adresser aux jeunes filles. Il faudrait qu’on encourage les filles. On va sélectionner les filles qui présentent déjà pour leur formation, un projet et qui veulent mener ce projet à terme. De manière que pendant qu’elles vont à l’école, elles sont en train de créer leur propre emploi et c’est vers ça que notre pays devait aller et va déjà.
Propos recueillis par M.O.D