« Si Seidou Mbombo Njoya et son Assemblée Générale avaient juste ajouté l’obligation d’avoir un BEPC pour candidater à la présidence de la FECAFOOT, nous n’en serions pas là », déclare Philippe Kwedi dans un message posté sur son mur Facebook. Le post a été repris par nos confrères de CFOOT ce 30 novembre 2024. Dans son message, il est dit de manière implicite que les difficultés de la Fédération viennent du fait que le niveau d’études de celui qui la dirige actuellement est bas. Pour Philippe Kwedi, on aurait pu éviter cela si l’ancien président Seidou Mbombo Njoya et son AG avait adopté une loi qui exigeait un minimum d’études chez les différents candidats. Ce minimum est le Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC) selon Kwedi.
La gouvernance de Samuel Eto’o est critiquée depuis son arrivée à la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). D’aucuns estiment que le président de la Fédération n’a pas assez de ressources intellectuelles pour manager. La première difficulté de Samuel Eto’o est donc liée à son niveau d’études. Des critiques qui n’empêchent pas Eto’o d’avancer dans sa politique et son projet à la Fédération. Dans l’une de ses sorties, le président de la Fédé répondait à ces critiques dans une phrase devenue mythique : « Ils sont des professeurs mais ils suivent celui qui n’a pas fait d’études ».