Par Christian Kazumba, expert en développement du secteur privé subsaharien. Moins de 1,5 % ! Ce chiffre, sans concession, représentemalheureusement la part actuelle de l’Afrique au sein du Private Equity international, aussi bien en termes de volumes que de nombre de transactions. Cette (très) faible performance est d’autant plus préoccupante que quatre pays (appelés communément les « big four ») concentrent à eux seuls 80 % des interventions réalisées par les fonds de « capital risque » et de « capital-développement » sur notre continent. Il n’est d’ailleurs pas anodin, à mon sens, que ces quatre « grands » (Kenya, […]