Par Lauric NGOUEMBE
Depuis 2014, les finances publiques de la République du Congo sont exengues, seulement trois (3) ans après l’annulation massive de sa dette de 80%. Comme d’habitude, ses autorités évoquent de nouveau, tel un refrain, les facteurs exogènes notamment le ralentissement de la production de pétrole et la chute du prix du baril comme si depuis 1973, année du premier choc pétrolier, elles ne disposent d’aucun modèle de prévision ou de projection des variables macro-économiques, en général, et des activités du secteur pétrolier, en particulier.