Inflation, croissance économique, dettes… À quoi faut-il s’attendre en 2025 ? A travers cette interrogation, le quotidien L’Economie revient sur les projections économiques de l’année budgétaire à venir, subséquemment à la circulaire signée par Paul Biya, président de la République, le 23 octobre 2024. Les détails sont en page 3.
Le journal Repères s’intéresse lui aussi au projet de loi de finances 2025. A en croire le journal, l’accroissement de l’offre énergétique au profit des industries et des ménages, le désenclavement des bassins de production, le renforcement du soutien financier au secteur de l’industrie et accélération du processus de décentralisation, la poursuite de la veille sécuritaire ainsi que du processus de désarmement, de démobilisation et de réintégration, sont quelques grandes orientations contenues dans la circulaire présidentielle du 23 octobre 2024, adressée au Premier ministre, aux ministres d’État, ministres, ministres délégués, secrétaires d’État et gouverneurs de régions.
Après la circulaire présidentielle, le gouvernement a 20 jours pour élaborer le budget 2025 de l’État du Cameroun. Selon EcoMatin, l’Assemblée nationale a annoncé la convocation de la session budgétaire de fin d’année pour le 12 novembre 2024. Alors que le chef de l’État n’a publié la circulaire sur la préparation du budget que le 23 octobre, soit cinq mois après le délai légal, et avec huit jours de retard sur le dépôt du projet de loi de finances au Parlement, l’exécutif devra produire un budget conforme et en cohérence avec les aspirations et ambitions que nourrit le chef de l’État pour ses concitoyens dans un temps limité.
« Épargne, crédit bancaire : Les règles du jeu ont-elles changé ? » S’interroge ce matin, EcoNews. Selon lui, derrière l’appellation technocratique « taux interbancaires », se cache un mécanisme se cache un mécanisme qui influe directement sur le porte-monnaie. Les récentes évolutions du marché monétaire sont marquées par une hausse significative des taux interbancaires. La semaine dernière, lit-on, le Taux Interbancaire Moyen Pondéré (Timp) s’est établi à 6,13 % pour les opérations en blanc, prêt consenti par une banque à une autre sans aucune garantie, et 5,72 % pour des opérations collatéralisées, des transactions financières où un actif (appelé collatéral) est donné en garantie pour sécuriser un prêt ou une autre obligation financière. En effet, ces évolutions ont des répercussions considérables sur le coût du financement des entreprises et, par extension, sur l’ensemble de l’économie.
« Promotion des jeunes : Paul Biya célébré. » titre le trihebdomadaire La Voix Des Jeunes. D’après notre confrère, dans son ouvrage de 182 pages intitulé « Paul Biya, Artisan d’une jeunesse entreprenante », l’ancien étudiant de l’Enam et président du Conseil de la Jeunesse de l’Extrême-Nord, Mininamou Viamna Parfait, met en lumière les programmes et actions du Chef de l’État en faveur de l’insertion socio-économique et professionnelle de la jeunesse camerounaise…
Dans sa page 7, le journal Conjoncture Economique présente le Directeur général d’Orange Cameroun, Patrick Benon, comme l’architecte de la révolution des télécommunications en Afrique. « Avec un parcours impressionnant de plus de 17 ans comme directeur général dans le secteur des télécommunications en Afrique, Dr Patrick Benon, actuel CEO d’Orange Cameroun, est une figure emblématique de la transformation numérique du continent. Véritable « serial transformer », il a su dynamiser les performances d’Orange en Afrique de l’Ouest, australe et centrale » indique le journal. Entre stratégies d’expansion, modernisation des réseaux et initiatives sociales, il dévoile les clés de son succès et sa vision pour l’avenir numérique de l’Afrique en page 7.
Le quotidien Mutations, parle de l’Affaire Longue Longue dans ses colonnes ce matin et fait remarquer que « le pouvoir joue gros ». Dans une lettre adressée au ministre délégué à la Défense, le président de la Commission des droits de l’Homme situe le contexte de la diffusion de la vidéo choquante et appelle à des actions urgentes pour éviter de lourdes conséquences au Cameroun. Les détails à retrouver en page 5.